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Informations
Janvier 2005
N°11 |
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Madame, Monsieur, Chers
amis,
La vie donne, la vie reprend.
Le 11 novembre 2004, Pascale, âgée
de 40 ans, mosaïste, épouse
de Jean-Michel UNGER sculpteur, a brutalement
quitté la scène terrestre.
Amie hors pair, unanimement appréciée,
elle a été un pilier de l'association,
un modèle vivant de détermination
et de don total de soi.
Collaboratrice sensible, engagée,
elle était toujours disponible, autant
pour le travail de création que pour
celui des tâches administratives,
la mise en place des expositions et les
visites guidées des écoliers.
Tel qu'elle l'aurait souhaitée elle-même,
nous nous refusons de sombrer dans la tristesse
destructrice et son départ vers l'autre
côté du miroir ne fait que
renforcer notre détermination dans
la poursuite de notre action pour le respect
de la personne humaine dans l'intégralité
de son individualité.
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"IL VIENDRA"
Installation inspirée du roman "Il
viendra" de J.ATTALI (édition
Fayard)
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COMPTE
RENDU DES MANIFESTATIONS
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EXPOSITION DE L'ATELIER 2013 AU PASINO
D'AIX-EN-PROVENCE DU 2 NOVEMBRE
AU 11 NOVEMBRE 2003 |
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Plus de quatre cents personnes sont passées
dans la salle d'exposition du Casino d'Aix-en-Provence
entre 12h et 22h. Le Casino étant
ouvert jusqu'à 2h du matin, on peut
en déduire que le nombre de visiteurs
a été beaucoup plus important.
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Jeunes et moins jeunes
apprécient les questionnaires
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Pour des raisons de sécurité,
la direction du Pasino ne nous a pas autorisés
à inviter les écoles. Plusieurs
enseignants de la ville, intéressés
par notre action, nous ont encouragés
à organiser une exposition ailleurs
à laquelle ils pourraient amener leurs
élèves.
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Lors du vernissage, le public
présent, y compris les agents d'accueil,
a vivement applaudi le discours d'introduction
de Johan, ce qui n'était pas du goût
d'une journaliste au service de la désinformation.
Toute la durée de l'exposition
pendant notre absence, un agent de sécurité,
enthousiasmé, encouragea les visiteurs
à remplir le questionnaire.
De prime abord un casino ne semble pas être
le lieu d'accueil idéal de manifestations culturelles ; cependant, la fréquentation
de cet espace par les classes sociales les
plus diverses nous a permis de toucher un
public qui habituellement ne visite jamais
les expositions d'Arts Visuels.
Plusieurs visiteurs marseillais nous ont exprimé
le souhait de voir une exposition d'ART & Démocratie dans la cité
phocéenne et ce n'est pas la première
fois qu'une telle demande nous est adressée,
mais jusque-là nos contacts avec la
municipalité et le Conseil Régional
n'ont pas abouti.
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EXPOSITION DE L'ATELIER 2013 A LA SALLE VOUTEE
DE CHATEAUNEUF-LEROUGE DU 25 SEPTEMBRE AU 10
OCTOBRE 2004 |
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Au vernissage, nous avons
eu le plaisir d'accueillir Monsieur Rouard,
Conseiller et délégué
à la Culture à la Mairie de
Châteauneuf-Le-Rouge, Monsieur Tassi,
Député Maire de Trets qui
nous a invités à exposer dans
sa commune, ainsi que Messieurs Genzana
et Salors, adjoints au Maire d'Aix-en-Provence.
L'Observatoire de la Laïcité
du Pays d'Aix a été représenté
par trois de ses membres. Notre démarche
et en particulier l'approche pédagogique
auprès des enfants, vue comme une
autre façon de concrétiser
le "vivre ensemble", a reçu
l'assentiment de tous ces visiteurs. L'approche
esthétique de l'existence pourrait-elle,
dans le monde à venir, remplacer
l'approche religieuse qui a tant divisé les hommes ?
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Un des artistes prépare
les classes à la visite
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Monsieur Herbault de
l'Artéum nous a rendu visite avec
les élèves de l'Ecole de peinture
de Châteauneuf-Le-Rouge.
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L'exposition a connu
un réel succès auprès
des élèves du primaire : dix
classes se sont déplacées,
deux de l'extérieur (La Fare-Les-Oliviers
et Gardanne) et huit de Châteauneuf.
Les artistes, ainsi que les membres présents,
ont apprécié la visite des
enfants ; leur ouverture, leur attention,
leur spontanéité et leurs
questions ont été une source
de joie et de fraîcheur. "J'ai
pu vivre avec eux une vraie rencontre"
nous a confié Pascale, notre mosaïste
regrettée. "Lorsqu'on prend
en compte l'enfant en tant qu'individu qui
pense par lui-même, le contact apporte
beaucoup, l'enfant se sent reconnu et s'ouvre à toutes les dimensions
de son être".
En dehors des classes, il y a eu peu de
visiteurs ; cela reflète l'absence
d'intérêt des adultes pour
l'art. Mais ce n'est pas nouveau. On sait
que l'art est un des derniers domaines auquel
on s'intéresse, surtout quand la
situation économique devient difficile.
Quand on sait ce qui est proposé
en termes d'art contemporain, à travers
les manifestations, les expositions subventionnées
par le ministère de la culture, le
Conseil Régional, le département,
les FRAC ou les DRAC…, on en vient
hélas à se désintéresser
de la question.
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Un énorme
travail reste à faire pour
redonner la parole au public afin
qu'il se sente concerné par
l'art.
L'atelier d'écriture mené
par Alia Isselée dans la
salle d'exposition a fait venir
de nombreux adultes passionnés.
Ecoutons ce que dit l'un des participants
: "Grâce à des
consignes simples, nous avons pu
entrer un peu plus dans la magie
des tableaux et aller plus profondément
en nous-mêmes par le puissant
retour sur soi qu'ils constituent.
J'en ai fait surtout l'expérience
au travers du "Trialogue"
que je n'avais jamais observé
à ce point ; ce tableau m'avait
toujours attiré, mais c'est
grâce à ces exercices
que j'ai compris pourquoi.
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J'ai ainsi pris
conscience fortement de ma difficulté
à m'abandonner et au contraire,
de ma facilité à spéculer
et à analyser les choses".
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Nous renouvellerons
ce type d'activité aux prochaines
expositions, tellement cela peut apporter
à ceux qui n'ont jamais appris à
contempler, à se laisser aller à
ressentir l'émotion engendrée
par une oeuvre d'art qui nous ramène
de fait au centre de nous même.
Pour conclure voici le témoignage
de Monsieur Campana, Directeur et Professeur
des écoles à la Fare-les-Oliviers,
après sa visite avec sa classe :
"J'ai été enthousiasmé
par l'exposition ART & Démocratie,
tant par la qualité des oeuvres présentées
que par la prestation de l'artiste qui nous
a accueillis.
Les oeuvres d'une grande qualité
esthétique et dotées d'une
forte charge émotionnelle n'ont laissé
aucun indifférent, allant de l'éblouissement
à l'incompréhension, en passant
par des sourires ou des grimaces.
Au-delà de la qualité artistique
de l'exposition, j'ai particulièrement
apprécié l'intervention de
Johan Isselée qui a su capter l'attention
des enfants et les conduire à une
réflexion sur la création
artistique. Son discours, jamais infantile
et quelque fois d'un haut niveau conceptuel,
reste compréhensible par les enfants
car il est transmis avec une telle sincérité
et une telle foi que le message passe comme
par magie.
Pour un enseignant, la visite de cette exposition
est un formidable tremplin pour aborder
les arts plastiques en classe."
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MANIFESTATIONS
A VENIR |
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CONTACT-ECHANGE |
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DE L’ART DES
POUBELLES AU CULTE DE....... L’HORREUR
Depuis la rentrée
2002, alors que sont parus les Documents
d’application des programmes de l’éducation
artistique, l’intérêt
pour les ordures ménagères
va croissant dans les écoles…
Est-ce une simple coïncidence ?
Quoi qu’il en soit, je ne me laisse
plus surprendre quand, à l’arrivée
en classe, un gamin sort de son cartable
un sachet empli de divers déchets
: boule de papier alu, cellophane froissé,
emballages, ficelle, coton, etc. Je sais
que c’est pour les « arts visuels
» de l’après-midi ! A
moi d’en faire bon usage, par les
vertus du recyclage, dans ma mission de
remplaçante de l’enseignant.
Je ne dois plus non plus débouter
les bienveillantes propositions de participation
à des projets artistiques : «
Viens avec moi à Berre (haut lieu
industriel) ramasser les déchets
que la mer rejette… » Adieu
les coquillages !
Enfin, j’apprends à maîtriser
les haut-le-coeur qui m’assaillent
parfois à la vue des panneaux exposés,
réalisés avec les enfants.
« Exprimer une émotion ? »
Très bien ! La souffrance ! Pourquoi
pas la joie ? Non, la souffrance : clous
plantés dans une boule de coton,
masques de douleur… et puis -plus
d’art sans concepts- vocabulaire en
graffitis : viol, tueur, crime, mort, drogue,
guerre.
Les artistes achetés pour les collections
des FRAC (oui ! on n’achète
plus des oeuvres, mais des projets et des
artistes) nous montrent l’exemple,
tel Guillaume Pinard cité dans le
programme 2003 du FRAC PACA : « Dans
les expositions que je réalise, je
souhaite insinuer chez le spectateur ce
sentiment d’emplâtrement des
mouvements du monde, renvoyer la concordance
des signes à leur opacité,
générer cette crispation de
la nuque sans laquelle l’acuité
reste flottante. » (Programme 2003)
Dans une présentation des vidéos
de Marie-Ange Guilleminot, toujours en 2003,
le FRAC PACA écrit encore : «
Cette gestuelle, énigmatique et solennelle,
produit un langage archétypal du
corps jusqu’à perturber la
notion d’identité et introduire
la confusion entre les genres. »
Oui, c’est bien cela…, la confusion
des genres ! Voyez plutôt la liste
des « héros » de l’art
contemporain, morts d’overdose de
préférence comme le tagueur
Jean-Michel Basquiat, cités en exemple
dans le numéro spécial de
"Beaux Arts magazine" édité
en collaboration avec le Scéren en
octobre 2001 sur le thème de l’art
à l’école :
- Jeff Koons et ses vidéos pornographiques
(USA) - Cindy Sherman, photographe, et ses
“Horror Pictures” : “Civil
War”, “Sex Pictures”,
“Disasters” (USA)
- Robert Ryman : Le monochrome blanc (ouf
! On souffle un peu !) (USA) - Bruce Nauman
et ses bandes sonores et vidéos dont
les thèmes sont :
violence, pressions physiques et morales,
intimité et exhibition (USA, encore
!
Mais pourquoi tant les USA ?).
Cette évolution très sensible
vers l’abject, après une période
d’abandon de l’enseignement
artistique, me laisse perplexe. Un art d’où
la notion de « beauté »
est volontairement retirée, pire,
un art qui sert à faire la promotion
de la violence et de la perversion est forcément
dévié de sa fonction initiale
qui, pour moi, est d’élever
les consciences. Aujourd’hui, l’émotion
esthétique est remplacée par
le choc psychologique qui déstabilise
la personnalité et la rend manipulable.
Diane Combes (Institutrice)
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ECOLE
: DEHORS L'ARTISTE !
Les classes à Projets Artistiques
et Culturels (PAC) sont en train de mourir
doucement, d'une belle mort, bien libérale…,
tout simplement par étranglement
budgétaire. Le Ministère parle
bien sûr d'un «redéploiement»
des budgets et des activités, mais
la plupart des rectorats, qui sont au contact
de la réalité, ne peuvent
plus cacher la vérité…,
on liquide les PAC.
La mise en conformité de l'Ecole,
au regard des exigences de la marchandise,
bat son plein.
Le retour en force à un «enseignement
du savoir», ce que l'on appelle le
développement d'un enseignement basé
sur l'«intelligence cognitive»
n'est pas le fruit du hasard. Les expériences
menées depuis quelques années
dans le milieu scolaire pour développer
l'«intelligence sensible et créative»
disparaissent. Celles-ci, fruit d'un travail
difficile mené en partenariat avec
des personnes extérieures à
l'Ecole, permettent non 7
plus de «remplir des cerveaux»
mais d'«ouvrir des esprits».
L'éduqué n'est plus «objet»,
mais devient «sujet» de sa propre
formation. La mémoire n'est plus
le seul moyen d'apprendre, on fait aussi
appel à la sensibilité, élément
essentiel d'accès à l'autonomie.
Sensibilité ? Mais, au fait, de quelle
sensibilité parle-t-on ? En dehors
de celle du «consommateur» qui
peut, qui doit, apprécier l'esthétique
de l'emballage du nouveau gadget qui lui
«est offert», de quelle sensibilité
le système marchand a-t-il besoin
?
En dehors de celle du «spectateur»
pour qui on fabrique un produit «culturel»
rentable (forcément rentable puisqu'une
entreprise a pris la peine, que dis-je ?
le risque, de la produire), de quelle sensibilité
le système marchand a-t-il besoin
?
En dehors de la curiosité du «touriste»,
trimbalé par des tour-opérateurs,
pour visiter des circuits «prédigérés»,
de quelle sensibilité le système
marchand a-t-il besoin ?
En dehors de la fidélité du
«téléspectateur»
scotché devant son petit écran
à siroter des programmes (coupés
par la pub) faits à la mesure de
son inconscient, de quelle sensibilité
le système marchand a-t-il besoin
?
Soyons sérieux, la sensibilité
dont parlent les poètes, les artistes
et autres «cultureux» n'est
que de la «sensiblerie», or
celle-ci est contre-productive, éloigne
du seul objectif sérieux qui guide
toute notre vie : l'efficacité et
la rentabilité.
Soyons sérieux, quelle entreprise
est prête à «investir»
dans une force de travail autre qu'adaptée
strictement au besoin de la production ?
Dans une force de travail qui aurait la
capacité de penser sur le sens même
de ce qu'on lui fait faire, de ce pourquoi
on l'utilise ? Dans une force de travail
qui puisse réfléchir au-delà
de l'horizon étroit que lui offre
l'emploi qu'elle occupe ? Aucune.
Soyons sérieux, quel Etat est prêt
à courir le risque de financer des
projets «d'éveil artistique»,
sachant que le mode de la production dont
il est le garant n'en a que faire ? Aucun.
Mais peut-on honnêtement penser qu'il
y ait la place dans l'école, à
la fois pour les «marques» qui
s'insinuent sournoisement et pour l'«expression
artistique» ? Cette dernière
n'est-elle pas justement la négation
des précédentes ? Cette dernière
n'est-elle pas «la vie», face
à l'expression mortifère de
la marchandise standardisée, calculée,
calibrée, empaquetée et imposée
? Face à ce choix, l'Etat n'a pas
à hésiter, en tant que garant
du système marchand, il va chasser
l'intruse.
Ah ! Mais, me dira-t-on, il faudra bien
faire émerger les jeunes talents.
La découverte de jeunes talents ?
Mais notre société a tout
ce qu’il lui faut pour cela. D'abord,
le népotisme massif qui règne
dans ce milieu fait que les rejetons, dans
certains domaines, remplacent avantageusement
les «artistes» vieillissants,
mais aussi et surtout les émissions
télévisées telles que
«STAR ACADEMY» (TF1) et autres
«A LA RECHERCHE DE LA NOUVELLE STAR»,
«POP STAR» (M6) n'ont-elles
pas la prétention déclarée
de trouver les «nouvelles stars»,
autrement dit celles et ceux qui seront
les artistes, les poètes, les créateurs,
les stars…, bref la culture ? Cette
culture qui nous sera servie jusqu'à
plus soif à la radio, à la
télé, en concert… et
qui, honneur suprême, représentera
la France à travers le monde.
Ainsi, la force de travail est réduite
à sa plus simple expression, c'est
à dire à son utilité
par rapport au système… et
pas plus. Le système marchand montre
ainsi son vrai visage et ce qu'il entend
faire de l'être humain… -un
outil de production de la valeur marchande…-
quand il l'emploie, et -un consommateur…-
pour que cette valeur se réalise
sur le marché. A contrario celle
ou celui qui n'a pas d'emploi, et donc ne
peut pas consommer, n'a aucun intérêt.
Dans les deux cas, il n'a que faire des
valeurs artistiques et des activités
d'éveil artistique. L'art, la culture
n'ont de sens qu'en termes de valeur marchande…
; la beauté, dans ce système,
n'est qu'une prostituée de luxe qui
s'offre au plus offrant. Les publicitaires
ont remplacé les artistes ou plutôt
ils les ont salariés, autrement dit
asservis. Ainsi, ces derniers ont perdu
ce qui était l'essence même
de leur art, la liberté.
Certes, quand ces messieurs entendent le
mot «culture», ils ne sortent
pas leur revolver, mais ils sortent prestement
leur calculette. Le monde froid de la marchandise
nous le construisons tous les jours par
nos démissions permanentes devant
les pratiques politiques des froids calculateurs
qui nous gouvernent. Nous nous laissons
berner par la pseudo-rationalité
de discours qui ne sont qu'idéologiques.
Demain sera un jour sans soleil, mais nous
pourrons toujours essayer de le peindre
sur nos murs, le problème c'est que
l'on ne saura plus le faire.
Patrick MIGNARD
Le 15/02/2004 Thème : Education
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NOS
CONTACTS |
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Nous recevons régulièrement
:
« ARTENSION »
de Pierre Souchaud.
« LES ECHOS DE PROVENCE »
de Gérard Baudin .
« ET SI LA BEAUTE POUVAIT
SAUVER LE MONDE » de l’association
Art Culture et Communication .
« LA LETTRE »
de l’association Démocratie
& Spiritualité.

La documentation de la MAPRA (Maison des
Arts Plastiques Rhône-Alpes).

Le bulletin trimestriel du FRAC PACA (Fond
Régional d’Art Contemporain
de Provence-Alpes-Côte d’Azur).
Les sites :

M. PHILIPPE DECLERCK, professeur à
l’université d’Angers
: http://perso.worldonline.fr/declerck/

ARTENSION :
http://www.artension.fr/

Nouveau : un groupe d’artistes lyonnais
: « LES CONTEMPOURIENS »
nous a contactés récemment.
Nous leur proposons, dans un esprit de réciprocité,
un lien sur nos sites respectifs :
http://pguion.free.fr.
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A lire :
"Art
et démocratie - Peuples de l'art,"
de Joëlle Zask
Paris, PUF, coll. "interventions philosophiques",
2003.
Joëlle Zask est spécialiste
de philosophie politique et s'intéresse
à la théorie de la démocratie.
Elle cherche à montrer que les critères
artistiques, esthétiques et démocratiques
sont semblables, et que l'art comme politique
n'équivaut pas à une politique
de l'art.
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Membres du
Conseil d'Administration de l'association
ART & Démocratie :
Johan Isselee, Président ; Alia
Fakhry, trésorière ; Jean
Gandon, secrétaire
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ART & Démocratie
Le Brancaï - CD 46
13790 Châteauneuf-le-Rouge
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